Les relations interpersonnelles dans nos vies personnelles et professionnelles sont complexes. Elles peuvent engendrer des situations abusives qui nous affectent physiquement et psychologiquement. Le harcèlement moral fait partie de ces anormalités sociales. Il nécessite notre vigilance. On fait le point dans cet article sur le harcèlement moral, ses modalités et ses solutions.
Qu’est-ce que le harcèlement moral ?
Le harcèlement moral est défini comme une conduite abusive d’une personne envers une autre personne. Il se traduit par des attitudes et des comportements répétitifs qui dégradent les conditions de vie de l’individu qui en est victime. Ces agissements à répétition nuisent à la personne concernée. Ils peuvent se manifester, par exemple, par des remarques désobligeantes, des moqueries, des menaces, des insultes ou encore des tentatives d’intimidation.
Le harcèlement moral porte atteinte aux droits ou à la dignité d’une personne, à sa santé physique ou mentale ou à son avenir professionnel. Il engendre chez la victime diverses conséquences psychologiques ou corporelles néfastes.
Il est possible de subir le harcèlement moral dans différents domaines de sa vie. Le harcèlement moral existe aussi bien dans la vie privée que dans la vie professionnelle. Dans la vie privée, le harceleur peut être un proche ou moins proche. Par exemple, une personne de votre famille, votre conjoint, un voisin, ou encore quelqu’un que vous considérez comme un ami. Dans la vie professionnelle, le harceleur se désignera, par exemple, comme un collègue de travail ou un supérieur hiérarchique.
Le harcèlement moral au travail est considéré en France comme un délit passible de 2 ans d’emprisonnement et 30000 euros d’amende selon l’article L222-33-2 du Code civil. La loi du 9 juillet 2010 condamne également la violence psychologique au sein d’un couple. Cette loi concerne aussi bien les personnes mariées, pacsées, en concubinage que séparées ou divorcées.
De manière générale, la loi française reste moins claire et nominative concernant le harcèlement moral dans la vie privée. Toute personne victime de harcèlement dans sa vie quotidienne a cependant la possibilité de porter plainte.
Dans les faits, les témoignages démontrent que le harcèlement moral reste difficile à prouver aux yeux de la loi. Beaucoup de personnes affirment avoir été victimes de harcèlement moral et ne pas avoir pu faire valoir leurs droits.
Quelles sont les conséquences du harcèlement moral ?
Comme évoqué précédemment, le harcèlement moral peut porter atteinte physiquement ou mentalement à la personne qui en est la victime. Ces conséquences se traduisent, en fonction des personnes, de différentes manières.
Sur le plan physique, la personne victime de harcèlement moral peut constater plusieurs maux. Par exemple de la fatigue, des douleurs musculaires, des maux de tête, des troubles du sommeil, des troubles de l’appétit, des dysfonctionnements hormonaux ou encore de l’hypertension artérielle.
Sur le plan psychologique, la personne victime de harcèlement moral peut aussi faire face à divers symptômes. Par exemple, du stress, de l’irritabilité, des crises de larmes, de la dépression, un repli sur soi, un manque de confiance en soi, une impression de perte d’identité. Elle peut aussi ressentir des sentiments de tristesse, de honte, d’humiliation, de culpabilité ou d’impuissance.
Pour essayer de pallier les symptômes, la victime peut elle-même aggraver la situation en ayant recours à des conduites à risque. Par exemple en consommant de manière abusive de l’alcool ou de la drogue ou en se scarifiant.
Le harcèlement moral peut également pousser la victime à prendre une décision qui va profondément impacter sa vie privée ou professionnelle. Elle peut, par exemple, démissionner de son travail ou arrêter sa formation. Elle peut aussi perdre le lien avec ses proches ou encore avoir recours à un acte répréhensible par la loi pour se défendre.
Le harcèlement moral peut aussi engendrer, de fil en aiguille, diverses situations graves sur lesquelles la victime n’a pas la main. Il peut par exemple s’agir d’être déclaré inapte au travail, d’être licencié, de perdre la garde de ses enfants ou encore de devoir régler des frais médicaux face à son état de santé.
Il est difficile de se remettre du harcèlement moral. C’est un traumatisme qui engendre parfois des symptômes post-traumatiques. Il est par exemple possible de constater chez les personnes ayant été victimes de harcèlement moral des conduites d’évitement. Ces conduites d’évitement touchent toute situation pouvant rappeler la situation de harcèlement. La victime peut également développer des cauchemars, des troubles anxieux ou des crises d’angoisse.
Le harcèlement moral peut laisser des traces indélébiles. Il sera important de les traiter, parfois même des années après. Beaucoup de personnes ayant subi du harcèlement moral à l’école expliquent par exemple souffrir dans leur vie d’adulte d’un grand manque de confiance en elle.
Comment reconnaître le profil d’un harceleur ?
Il existe plusieurs caractéristiques permettant de détecter un harceleur au travail. Il n’est pas nécessaire que l’ensemble de ces critères soient réunis en une même personne. Ils doivent cependant vous alerter par leur aspect répétitif. Vous constaterez également que certains des éléments ci-dessous peuvent également s’appliquer au harcèlement moral dans la vie privée.
Tout d’abord, le harceleur au travail a tendance à mélanger le personnel et le professionnel. Il en vient à évaluer, non pas le professionel que vous êtes, mais la personne que vous êtes. Il ne vous juge pas uniquement sur vos compétences au travail, mais également sur votre caractère ou vos choix personnels.
Le harceleur au travail aura tendance à essayer de justifier cette attitude inacceptable en vous faisant croire qu’il existe un lien entre vos compétences professionnelles et votre vie personnelle. Par exemple, il pourra affirmer que la qualité de votre travail s’est dégradée parce que vous n’êtes pas heureux dans votre couple. Il portera ainsi un jugement sur vos choix amoureux. Il pourra également vous expliquer qu’il critique votre caractère car ce dernier n’est pas compatible avec vos missions.
En se comportant de cette façon, le harceleur témoigne de la confusion de sa propre identité professionnelle et de son incapacité à préserver la vôtre. Il engendre ainsi, aussi bien chez lui que chez sa victime, de la confusion.
Le harceleur est également lunatique. Il modifie sa conduite en fonction de ses humeurs. Il peut rapidement changer d’état émotionnel et souffle le chaud et le froid à sa victime. Il est incapable de distinguer ses problématiques personnelles de son travail et de son attitude envers les autres.
Cette attitude instable engendre encore plus de stress chez la victime. Le fait de ne pas savoir comment le harceleur se comportera aujourd’hui provoque beaucoup d’anxiété. La victime ne cesse d’essayer de s’adapter à l’humeur du harceleur et reste en permanence sur ses gardes.
De même, le harceleur n’est pas capable de se remettre en question. Il estime avoir toujours raison. Il ne peut échanger de manière constructive. Toute conversation avec lui est vaine. Il place sans cesse toute la faute sur sa victime. Ses arguments peuvent être tirés par les cheveux. Il peut facilement se contredire. Il utilise différents processus pervers pour faire valoir son point de vue.
Le harceleur place également sa victime dans une impasse. Tous les choix qu’il lui propose sont les mauvaises réponses. Il demande à sa victime de réaliser des objectifs impossibles à atteindre. Il ne tient pas compte du principe de réalité. Il demande que toutes ses demandes, même les plus farfelues, soient réalisées. Il place ainsi toujours sa victime en position d’échec.
Face à cela, plus la victime redouble d’efforts pour y arriver, plus le harceleur sévit. En effet, toute potentialité de la victime est perçue par le harceleur comme un danger. Le harceleur est paranoïaque et a l’impression que tous les agissements de la victime ont pour but de le nuire.
Le harceleur cherche à vous isoler. Il veut avoir l’exclusivité avec vous afin que vous ne puissiez pas lui échapper. Une personne seule est une personne vulnérable qu’il est plus facile de manipuler.
Il essaie ainsi non seulement de vous éloigner des autres, mais aussi d’éloigner les autres de vous. Pour cela, il n’hésite pas à vous faire croire que les autres sont un danger pour vous. Parallèlement, il détourne ces autres de vous en utilisant diverses stratégies comme les fausses rumeurs ou le dénigrement.
Enfin, le harceleur met en place de façon générale un climat de menace. Ce climat de menace peut se traduire par différentes attitudes verbales ou non verbales. Il peut, par exemple, s’agir d’un comportement glacial, d’expressions du visage qui annoncent une colère ou encore de chantage indirect.
La menace qui plane sur la victime est permanente, mais très subtile. Le harceleur se débrouille généralement pour ne pas formuler clairement les menaces et le chantage. Il utilise beaucoup le sous-entendu et le cynisme.
Ce climat permanent de tension engendre chez la victime une forme de terreur ou de tétanie. Quand la victime se retrouve face au harceleur, elle peut constater des signes d’angoisse tels que des tremblements, de la transpiration, des bouffées de chaleur ou encore le coeur qui bat la chamade. Il faut bien avoir en tête qu’aucun individu ne devrait provoquer chez vous autant de stress. Si tel est le cas, c’est qu’il y a un problème sur lequel il faut mettre le doigt.
La victime se retrouve également obnubilée par son harceleur tellement ce dernier l’inquiète. Elle peut en venir à y penser même en dehors de son temps de travail au point de gâcher ses instants de temps libre.
Comment se protéger d’un harceleur ?
Alerter sur le harcèlement moral au maximum
Le harceleur cherche à vous isoler afin d’avoir une totale emprise sur vous. N’entrez pas dans son jeu et alertez au contraire un maximum de personnes autour de vous. Le harceleur est dans l’illégalité et craint le bruit que vous pourrez faire.
Gardez un maximum de preuves du harcèlement moral que vous subissez, qu’il s’agisse de mails, de SMS, d’enregistrements vocaux, de témoignages ou même de certificats médicaux. Ils pourront vous être utiles un jour.
Il est possible de commencer par signaler l’attitude du harceleur aux autorités compétentes. Il peut s’agir de la police, mais également, en fonction du contexte, de votre supérieur hiérarchique, de la médecine du travail, du conseil des Prud’hommes, de l’inspecteur du travail ou encore du délégué du personnel ou d’une organisation syndicale représentative. Il est possible d’alerter en même temps plusieurs de ces autorités compétentes pour faire valoir vos droits.
De manière générale, parlez autour de vous du harcèlement moral que vous vivez. S’il s’agit de harcèlement moral au travail, vous pouvez en discuter avec vos collègues de confiance. S’il s’agit de harcèlement moral dans votre vie personnelle, vous pouvez en échanger avec des proches qui veulent votre bien. Vous pourrez obtenir du soutien et des conseils face à cette épreuve difficile.
Enfin, il arrive souvent que le harceleur attaque sa victime. Il utilise, par exemple, des “boutades” pour la ridiculiser ou des reproches pour la décrédibiliser. Face à ces attitudes, n’ayez pas peur de mettre le doigt sur ce qui est anormal devant tout le monde.
Pour cela, trouvez les bons mots qui expriment l’anormalité de la situation. Exprimez-vous au travers de phrases claires et concises. Parlez d’une voix forte de manière à ce que vos dires attirent l’attention des spectateurs. Regardez votre interlocuteur dans les yeux et utilisez un ton calme mais ferme et confiant.
Par exemple, si votre interlocuteur fait des sous-entendus négatifs à votre sujet, vous pouvez clairement lui poser la question suivante :
- “Que veux-tu dire exactement ?”
- “Peux-tu développer ta pensée ?”
- “J’ai l’impression que tu me reproches indirectement quelque chose”
De même, si votre interlocuteur cherche à vous ridiculiser, n’hésitez pas à rétorquer :
- “J’ai l’impression que tu tentes de m’humilier sous couvert d’humour.”
- “Cette attitude me met mal à l’aise”
- “Peux-tu arrêter s’il te plait ?”.
Votre interlocuteur sera surpris que vous mettiez à jour ses intentions. Il sera déstabilisé que vous lui demandiez de développer une idée dont la seule force est de ne pas être totalement dite. De même, votre interlocuteur sera mal à l’aise du fait que la scène se déroule face à des témoins. Il ne pourra ainsi pas agir n’importe comment pour préserver son image. Vous pourrez facilement le prendre de cours et alerter les personnes présentes de l’anormalité de la situation.
Comprendre les mécanismes du harcèlement moral
Le harceleur profite de la confusion et la déstabilisation qu’il engendre chez sa victime pour mieux la contrôler. En comprenant les mécanismes qui se jouent dans une situation de harcèlement moral, vous pourrez mieux l’anticiper et vous protéger.
Pour cela, lisez des livres et des articles sur le harcèlement moral. Renseignez-vous sur les profils des manipulateurs. Plus vous serez renseigné sur ce sujet, plus vous arriverez à percevoir les enjeux de votre propre situation et entrevoir des solutions.
De même, demandez à des personnes extérieures à la situation de vous donner leur point de vue. Lorsqu’on vit soi-même une situation, on est pris par les aspects émotionnels de cette dernière et on manque d’objectivité. En obtenant le regard de plusieurs personnes autres que les acteurs de la situation, vous pourrez mieux cerner ce qui est en train de se passer. N’hésitez pas également à en échanger avec des professionnels de santé.
Utilisez vos connaissances sur le harcèlement moral pour vous extérioriser au maximum de ce qui est en train de se passer. Ne laissez pas les émotions négatives telles que la peur, la culpabilité, la tristesse ou la colère prendre le dessus. Essayez, autant que possible, de devenir tel un observateur du phénomène.
Par exemple, en sachant que le harceleur cherche sans cesse à mettre sa victime en position inférieure, retournez le jeu du harceleur contre lui. Au lieu d’entrer face à ces reproches dans des justifications interminables qui, de toute manière, ne trouveront aucun crédit à ses yeux, retournez la question contre lui. Amenez-le sur son propre terrain à se justifier. Répondez au maximum par des interrogations.
Se faire aider par un professionnel
Le harcèlement moral peut avoir de graves conséquences sur la victime. Il est parfois important de se faire aider par un professionnel pour surmonter cette période difficile ou pour se rétablir à l’issue d’une période difficile. Pour cela, vous pouvez vous faire aider par un psychologue ou un psychiatre.
Parallèlement, il est possible d’avoir recours à différentes techniques visant à apaiser les symptômes tels que le stress ou l’anxiété. Vous avez le choix entre différentes disciplines : méditation, sophrologie, yoga, activité sportive, hypnose, acupuncture… à vous de trouver la méthode qui vous conviendra le mieux. Rien ne vous empêche d’avoir recours à plusieurs d’entres-elles.
Les plantes, les huiles essentielles, les fleurs de Bach peuvent aussi être des solutions complémentaires qui vous aideront au quotidien. Il existe de nombreux remèdes naturels permettant d’être plus apaisé. Ils ne sont bien entendu pas magiques mais peuvent constituer une aide important en parallèle à d’autres dispositifs.
Soigner votre hygiène de vie
Les moments de notre vie émotionnellement éprouvants sont les moments où nous sommes physiquement et psychologiquement les plus fragiles. Raison pour laquelle il est particulièrement important de soigner son hygiène de vie pour tenter de préserver son énergie et sa force.
Pensez à dormir au minimum 8 heures par nuit. Offrez-vous, si vous en avez la possibilité, des micro-siestes dans la journée. Evitez de vous coucher après minuit.
Mangez sainement. Privilégiez les repas végétaliens et biologiques. Evitez au maximum les sucres raffinés. Mangez des fruits et des légumes à volonté. Ecoutez votre corps qui sait ce dont il a besoin et à quel moment. Enfin, de temps, en temps, n’ayez pas peur de vous offrir un petit plaisir même s’il n’est pas optimal pour votre santé. L’idéal reste cependant d’apprendre à retrouver du plaisir en mangeant correctement.
N’ayez pas recours aux substances nocives pour votre corps telles que la cigarette, l’alcool ou encore la drogue. Essayez de remplacer ces éléments qui donnent l’impression de vous apaiser par des solutions plus saines. Si vous craquez, ne vous culpabilisez pas et ne vous découragez- pas.
Pratiquez régulièrement une activité sportive. Non seulement celle-ci vous permettra de rester en bonne santé, mais également de vous vider la tête. Il vous sera possible d’extérioriser au travers des efforts physiques toutes les mauvaises énergies de la journée.
Pratiquez régulièrement ce que vous aimez. Ce conseil peut paraître simpliste, mais il est pourtant primordial. Le bonheur est aussi simple que cela : faire le plus souvent possible ce qui rend heureux. Nous vivons à un rythme tellement effréné que nous ne prenons plus le temps de faire des choses qui paraissent “improductives. Pourtant, elles sont primordiales à notre bien-être.
Par exemple, il peut être très positif de “ne rien faire”. En pensant “ne rien faire”, vous prenez peut-être le temps de faire plein de choses indispensables à votre évolution personnelle. Vous pouvez par exemple faire fonctionner votre imagination, favoriser la loi de l’attraction en rêvant avec plaisir, effectuer une introspection utile sur vos désirs, vos capacités et vos manquements. Les moments de lâcher-prises sont bien plus utiles que nous ne l’imaginons.
Il n’est pas naturel ni positif pour notre corps et notre âme de se faire sans cesse violence. Aller toujours plus vite et produire toujours plus nous réduit à l’état de personne-machine au travers d’une routine infernale de métro-boulot-dodo.
Orientez tant que possible votre vie vers ce que vous aimez réellement faire, vers ce à quoi vous prenez chaque jour du plaisir. N’ayez pas peur d’aller à l’encontre des normes et des valeurs de la société qui ne sont pas nécessairement mises en place en la faveur des citoyens lambdas.
Couper le contact avec le harceleur
Si vous en avez la possibilité, couper court à tout contact avec votre harceleur. Il existe réellement des personnes qui sont néfastes à votre bien-être dans votre vie. Ces personnes ont probablement besoin d’être aidées pour être aussi néfastes pour les autres. Cependant, votre protection passe avant tout. Vous avez besoin d’être en lieu sûr pour pouvoir être dans votre plein potentiel et tendre la main aux autres.
Si le harceleur est un proche, vous pouvez bloquer tous les moyens qu’il a pour vous contacter et jouer la carte de l’ignorance. Ne laissez personne envahir votre vie au point d’être un poison. Gardez en tête qu’une personne qui se comporte de cette manière avec vous ne vous mérite pas.
Si le harceleur est une personne au travail, vous pouvez demander à changer de service. Si la situation devient trop douloureuse, vous pouvez même songer à changer de lieu de travail. Bien entendu, il est triste de constater que la société est faite de manière à pousser la victime à partir plus que le coupable. Votre santé psychologique doit cependant rester votre priorité.
Partir, ce n’est pas fuir. C’est à l’inverse avoir assez d’estime pour soi pour réaliser que rien ne nous oblige à subir cela et agir pour vous protéger. Vous n’avez aucune culpabilité à ressentir pour avoir de faire le choix de ne plus voir le harceleur. Vous n’avez pas à subir les problématiques du harceleur.
Maintenant, à vous de jouer !
Quoi qu’il en soit, ne vous découragez pas. De nombreuses personnes subissent ce type d’abus relationnels au cours de leur vie. Il est tout à fait possible d’y mettre fin. Vous arriverez à vous en sortir ! Ne restez pas seul face à la situation et protégez-vous rapidement de la personne nuisible.