Depuis mon dernier article, ma langue s’est déliée, et j’ai décidé d’affirmer un peu plus ce que je dis, au risque de me faire haïr par une partie de mon lectorat. Tant pis si mon style ne plait pas à tout le monde. Tant pis si pour vous la forme est plus importante que le fond. Il y a d’autres blogs pour ça.
Mardi dernier, un post de mon ami Julien Arcin sur son mur Facebook me donne une idée d’article. Le voici :
Avant, quand tu avais un problème, c’était à toi de le régler. Tu devais apprendre à être fort et à être un homme pour affronter les difficultés de la vie.Aujourd’hui, quand tu as un problème, c’est forcément à cause de la société. Tu n’as même pas d’effort à faire, il te suffit de rejeter la faute sur les autres et d’attendre que le groupe règle ton problème. Avant, si tu avais soif on t’apprenait te battre pour avoir de l’eau….
Aujourd’hui, si tu as soif on t’apprend à pleurnicher et à te plaindre.Certains appellent ça le progrès social…
Et ceci m’a inspiré cet article ! C’est vrai qu’entre nous, en France, beaucoup de gens préfèrent vraiment l’inaction. Ils préfèrent rester dans leur zone de confort même si leur vie est complètement pourrie. Et le pire, c’est qu’on encourage ce genre de comportement. On donne à tout le monde un chômage sans qu’il n’ait rien à faire. Et on arrive à se plaire dans ce genre de situation, on ne fait rien, on gagne peu d’argent, mais au moins on ne part pas travailler.
Il faut arrêter, du travail il y en a ! Même par période de crise. Alors peut-être que dans votre branche il n’y a pas de travail, certes. Mais il est toujours possible de faire de l’intérim à droite à gauche. Le problème avec la mentalité en France c’est qu’on est trop fiers. Et si on a un diplôme d’ingénieur en mécanique alors :
- On ne peut faire que de la mécanique
- On ne se rabaissera pas à bosser pour un salaire inférieur à 32 000 euros annuels.